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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 10:06

Je viens de finir:

 

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4ème de couverture:

 "Beryl Madison, romancière à succès, a fui l'homme qui la harcèle depuis des mois pour se terrer à Key West. Le manque d'argent la contraint à rentrer à Richmond, le temps qui lui est nécessaire pour vendre sa maison. Juste assez de temps pour ouvrir sa porte, juste assez de temps pour se faire violer et égorger. Kay Scarpetta est perturbée : des témoignages incohérents, des rencontres déplaisantes troublent ses recherches. Au fond, elle le sait, ni son ancien amant, qui resurgit sous un bien piètre prétexte, ni cet homme de main qu'elle surprend fouillant dans les bureaux de la morgue, ne la mettront sur la bonne piste. En revanche, cette multitude de fibres étranges qu'elle découvre sur le corps ensanglanté de Beryl est cruciale. Des fibres si inhabituelles qu'elle aura du mal à percer leur mystère, mais Kay Scarpetta s'emploie à les faire parler. "

 

Ce que j'en ai pensé:

  Voici le deuxième livre de la série des Patricia Cornwell que je voulais relire! Je ne suis toujours pas déçue... car je ne me souvenais pas non plus de la fin!

 

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 22:10

Sur la route entre Cagnes et Valence, j'ai lu:

 

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 4ème de couverture:

" J'ai décidé hier après-midi de tuer ma fille. A quatre-vingts ans, cela ne va pas être facile. D'autant que je me déplace en fauteuil roulant. ". mais cette octogénaire hémiplégique est bien déterminée à parvenir à ses fins. Car entre mère et fille, la haine est réciproque et implacable. Ancienne pianiste, adulée par les hommes, despotique, Eleonore ne s'est jamais préoccupée de personne sauf d'elle-même. Terne et aigrie, sa fille Elisabeth attend de pied ferme l'héritage. Et soigne sa mère indigne de façon très personnelle...

 

Ce que j'en ai pensé:

J'adore ce genre de lecture, c'est amusant tout en décrivant des situations très peu drôles... c'est fin, bien écrit, on s'y croirait!

Bref, à recommander...!

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 20:21

Je viens de finir :

 

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4ème de couverture:

 

" Richmond, Virginie. Quatre femmes ont été torturées, violées, égorgées. Une femme noire et trois blanches. Rien, pas le moindre indice ne les relie entre elles, si ce n'est précisément l'assassin. Le docteur Scarpetta s'acharne à traquer le tueur en série. Il est intelligent, rusé et ne semble commettre aucune faute qui pourrait mettre les enquêteurs sur la voie. Elle sait qu'il n'arrêtera pas. Si elle ne trouve pas très vite une piste pour remonter jusqu'à lui, une autre femme va mourir. Tout semble se liguer contre la police et Kay pour favoriser le tueur. Peu à peu, Kay Scarpetta commence à se sentir menacée. Postmortem remporte à sa sortie cinq prix internationaux parmi les plus prestigieux, notamment le prix Edgar Poe et le John Creasey Award, ainsi que le prix du Roman d'aventures."

 

Ce que j'en ai pensé:

 

J'avais déjà lu ce livre, mais désireuse de reprendre un roman signé Patricia Cornwell et ne me souvenant plus lesquels j'avais déjà lu, j'ai décidé de tous les reprendre depuis le début!

Jenny m'a gentiment prêté les 5 premiers....

L'avantage, c'est que je ne me souvenais plus de la fin... j'ai donc pu l'apprécier et l'aimer autant que la première fois que je l'ai lu!

 

Du policier comme je les aime... où la violence des meurtres est adoucie par la présence et l'acharnement féminins de l'héroïne... Les romans de Patricia Cornwell ne seraient pas aussi bons si le Dr Scarpetta était un homme!

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 23:11

Pendant le voyage en voiture entre Vougy et Cagnes-sur-Mer, j'ai lu:

 

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Extrait de la 4ème de couverture :
« - T'as passé une bonne semaine ?

Je ne sais pas quoi dire. Si je dis oui, il va être triste, ça voudrait dire que je me passe bien de lui et que L'autre n'est pas si mal. Si je dis non, il sera très en colère contre Zélie et L'autre parce que je suis malheureuse à cause d'eux. Je dis :

- Moyen. »

À neuf ans, Ninon observe le monde avec malice et se moque des idées toutes faites. Quand ses parents se séparent, elle choisit la vie de bohème avec son père, Fred. Ensemble, ils construisent une maison de bric et de broc, traient leurs chèvres, vendent leurs produits au marché, oublient l'école et Mme Kaffe, l'assistante sociale...

 

 

Ce que j'en ai pensé:

 

Un livre plein de tendresse, de naturel et de simplicité... Un petit régal...
J'avais d'abord craqué sur la photo de couverture... trop belle... Et la quatrième de couverture m'interessait... Typiquement le genre d'écriture que j'aime...

 

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 23:30

Je viens de finir:

 

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Publié en 1950, cette célèbre chronique, à la couleur intensément tragique et au style souple et varié, doit son titre à un aphorisme de Vauvenargues qui définit l'âme forte comme étant "dominée par quelque passion altière et courageuse". Cette âme forte, c'est avant tout celle de l'héroïne, Thérèse, personnage stendhalien, à la fois ingénue et prédatrice déclarée. À travers son récit se lit la puissance irréductible de la passion, qui éloigne du réel et fait vivre dans l'imaginaire. Aussi sa voix est-elle systématiquement contestée par une seconde narratrice, anonyme, sorte de "contre" en quête d'une autre vérité. Il en résulte un système romanesque profondément original, qui détruit de façon lancinante les récits successifs qui s'y déploient.

Quatrième de couverture
Elle était à ce moment-là, de beaucoup et de loin, la plus belle femme de Châtillon, et même d'ailleurs certainement. Quelqu'un qui l'a bien connue à ce moment-là me disait : " Elle était belle comme ce marteau, vois-tu ! " Et il me montrait le marteau dont il faisait usage depuis vingt ans (c'était un cordonnier), un marteau dont le manche était d'un bois doux comme du satin depuis le temps qu'il le maniait, dont le fer si souvent frappé étincelait comme de l'or blanc. Et avec ça elle était tout le temps affable et gentille.
Ce que j'en ai pensé:
J'avais un mauvais souvenir de Jean Giono du lycée.. alors je m'étais promis de réessayer...
Très laborieux au début... Je suis gênée par l'absence de chapitres... de coupure...
Mais somme toute, une fois reprise l'habitude du "style", l'histoire m'a bien entraînée... mais juste laissée un peu sur ma faim quand même, une fois la dernière page terminée...
J'aimerais avoir le courage d'en lire une explication de texte détaillée car le texte est truffé de manipulations en tout genre...

 

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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 23:42

Je viens de finir:

 

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"Sa sœur était sur le point de lui révéler un secret... et c'est l'accident. Elle est grièvement blessée. Seul, l'angoisse au ventre, alors qu'il attend qu'elle sorte du bloc opératoire, Antoine fait le bilan de son existence: sa femme l'a quitté, ses ados lui échappent, son métier l'ennuie et son vieux père le tyrannise. Comment en est-il arrivé là? Et surtout, quelle terrible confidence sa cadette s'apprêtait-elle à lui faire? Rattrapé par le passé, Antoine Rey vacille. Angèle, une affriolante embaumeuse, lui apportera une aide inattendue dans sa recherche de la vérité. Entre suspense, comédie et émotion, Boomerang brosse le portrait d'un homme bouleversant, qui nous fait rire et nous serre le coeur."

 

 

Ce que j'en ai pensé: 

 

Je ne suis pas déçue de ce roman... Le troisième que je lis de cet auteur depuis que je la connais...
C'est plein de vérités humaines, de sentiments toujours aussi bien décrits, et de doutes toujours aussi bien entretenus!! 

Et surtout, j'ai une terrible envie d'aller découvrir Noirmoutier et son fameux passage du Gois maintenant!

 

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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 13:29

Je viens de finir (en version anglaise originale):



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(j'en déteste d'ailleurs la traduction du titre en français: Le conte de Deux Cités... ça ne sonne pas bien du tout!)


Résumé:

"Il était une fois le temps de la révolution française - un temps de changement et de dangers.  Il était un temps où l'injustice était combattue par un désir de vengeance, et où la distinction entre les innocents et les coupables étaient rarement faites.  C'est dans ce décor que cette histoire nous est racontée.

Injustement emprisonné pendant 18 ans à la Bastille, le Dr. Alexander Manette retrouve sa fille Lucie et est transporté en Angleterre pour y vivre en paix.  Le destin veut toutefois qu'ils soient tous les deux demandés comme témoins à Old Bailey pour témoigner contre un jeune Français - Charles Darnay - faussement accusé de trahison.  Étrangement, Darnay présente une ressemblance étonnante avec un autre homme dans la salle de Cour, un homme dissolu du nom de Sydney Carton.  Cette coïncidence sauvera Darnay d'une mort certaine."


Ce que j'en ai pensé:

 

Du Dickens comme je l'ai toujours aimé... Beaucoup d'humour, un récit bien mené, une intrigue dans un milieu dont je pensais plus rien avoir à apprendre... la révolution française vue de l'intérieur...

Un petit bijou!!

Et ça m'a fait tellement de bien de relire en anglais!!

 

Petite mésaventure pendant ma lecture:

Vers la page 143, je trouve que le récit devient bizarre: on a un peu sauté du coq à l'âne... Je continue sur une page ou deux et puis décidément, non.. y'a un truc bizarre. Je regarde le numéro de page et effectivement, je suis à la page 196!!

C'était un vieux livre que j'avais acheté sur une brocante anglaise quand je vivais là-bas!...

Une erreur d'édition je suppose: le livre passait de la page 143 à 196 puis à la page 206, il repassait à la page 196!!!

Bref, le lendemain j'ai acheté sur Amazon un autre livre, complet cette fois!

Autant vous dire que cette vieille édition, bien jaunie, ira directement dans mon tas de vieux livre pour le scrap!

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 12:49

Je viens de finir:


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Résumé du livre:


Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire de métier, et citadine pragmatique, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance. Au cimetière, elle rencontre le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que la tombe avec sa stèle tape-à-l'œil. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, de façon assez rustique, et grâce à une bonne dose d'humour et d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il s'énerve contre la "Crevette" qui occupe le banc au cimetière avec lui, avec son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Rien, a priori, ne rapproche ces deux-là, et pourtant, il suffira d'un sourire qui éclate simultanément sur leurs lèvres, pour qu'ils soient tous deux éblouis. C'est le début d'une histoire d'amour assez cocasse. Ils sont tout le contraire l'un de l'autre. Elle ne sait pas cuisiner, il lit tout au plus un livre par an. Elle veut aller à l'opéra, lui doit traire les vaches. Il traîne avec lui une odeur d'étable, elle vit dans un appartement aseptisé. Mais leur passion amoureuse est sans bornes. Roman d'amour drôle, tendre, à l'humour décapant, Le mec de la tombe d'à côté touche pourtant là où ça fait mal : ce fossé qui sépare les catégories sociales. On ne peut plus contemporain..


Ce que j'en ai pensé:

 

Voilà un bouquin comme j'aime les lire: avec un sujet qui change de l'ordinaire et traité de façon vraiment très simple et directe... On se pose les bonnes questions, on ressent les bonnes émotions... et les moins bonnes...

Ce livre est intemporel, les questions qui y sont posées ont été et resteront d'actualité...

 

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 11:29

Je viens de finir:

 

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Résumé du livre:


Justine a 40 ans, un mari britannique, Andrew, et deux enfants. Elle travaille en tant que traductrice free-lance et mène une petite vie tranquille. Mais un mercredi après-midi, tout va basculer. Son fils adolescent est renversé par un chauffard en plein Paris. L’inconnu prend la fuite, des témoins ont à peine le temps de noter quelques chiffres de la plaque d’immatriculation. Sérieusement blessé, Malcolm sombre dans le coma. L’enquête piétine.

Justine et Andrew, sous le choc, s’enlisent dans la rancœur, l’incompréhension. Leur couple se fragilise. Contre l’avis de son mari, de ses parents, Justine se fait violence pour retrouver le responsable de l’accident. Qui était au volant de la Mercedes ancien modèle couleur «moka» ? La seule personne qui soutiendra Justine, c’est sa belle-mère, la « so British » Arabella, personnage aussi fantasque que surprenant.

Leur enquête les mènera dans une ville balnéaire du sud de la France, à Biarritz, au seuil d’une villa qui surplombe la plage de la Côte des Basques. Mais au bout de la route, à qui, à quoi Justine sera-t-elle confrontée ? Et quelles vérités finira-t-elle par mettre à nu ?



Ce que j'en ai pensé:


J'ai eu du mal à démarrer car je sortais d'Anna Gavalda avec son style très particulier d'écriture, et le début de Moka m'a donc semblé un peu "artificiel", beaucoup moins subtil que "La Consolante"... J'aurais sans doute dû lire autre chose de complètement différent entre les deux!

Mais j'ai bien accroché ensuite...

Et oui... je me suis achetée "Boomerang", un autre roman du même auteur... Quand j'en découvre un qui me plaît, j'ai du mal à ne pas faire toute la série!


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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 10:00

Je viens de finir:

 

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Résumé du livre

'Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. 'Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l'impression d'avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu'il est devant l'évier, s'asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C'est fini. C'est fini, tu comprends ?' Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l'appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l'évidence : l'échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.' Anna Gavalda



Ce que j'en ai pensé:
J'ai lu beaucoup de critiques qui n'étaient pas enchantées par ce bouquin, mais bizarrement, aussi mal à l'aise parfois que j'étais à la lecture de ce bouquin, je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir envie de lire la suite... Ce livre m'a faire "ressentir", et c'est ce que je cherche quand je lis un livre, alors en tant que fidèle d'Anna Gavalda, j'ai aimé ce livre...

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